“A rose by any other name would smell as sweet”, disait le poète anglais William Shakespeare. En prologue du jour le plus romantique de l’année, la Saint-Valentin, la citation devrait sonner: “A rose at any other day, would smell as sweet.” Car comme d’habitude le prix des fleurs, et en particulier, des roses rouges, à Saint-Valentin est mitraillé.
L’émission ‘On n’est pas des pigeons‘, un magazine de consommation qui aide à voir clair dans la jungle marketing sur La Une, recherchait pourquoi le prix des roses explose à Saint-Valentin. L’équipe visitait avec un caméra caché des supermarchés et des fleuristes. Leur conclusion? Le consommateur paie beaucoup plus chez le fleuriste. Marijke Walbers, le président de l’organisation fleuristes belges “KUFB”, défend les fleuristes. Vous pouvez suivre le débat à partir du 18ème minute.
Source: rtfb.be